Traduction

mardi 24 mai 2016

Signature


Vendredi 27 Mai

Espace culturel Leclerc Saint-Médard-en-Jalles


Je serai présente dans la librairie de 10h30 à 17h pour vous présenter :

 

Rendez-vous


Jeudi 26 mai


Chers lecteurs,

 La brasserie l'Orléans nous accueille à partir de 18h, jeudi, dans ses locaux, 
pour une rencontre littéraire autour de deux romans : 

"Ne regarde pas l'ombre" de Laurent Philipparie et  "L'Affaire Jane de Boy".


Laurent et moi serons interviewés par Benoît Lasserre et nous répondrons ensuite à toutes vos questions, avant de prendre un verre et de continuer à échanger avec vous.
Le cocktail est généreusement offert par les propriétaires du restaurant.
Venez nombreux partager ce moment avec nous.
.

lundi 23 mai 2016

Le salon d'Ares.


Coup d'envoi réussi pour L'Affaire Jane de Boy,

aux Pages du Bassin




Une ambiance amicale et décontractée, comme d'habitude à Ares,
non, mieux encore cette année... 
des échanges très intéressants avec le  public 





Les lecteurs étaient au rendez-vous et ils ne se sont pas fait prier... 
Merci pour leur confiance, renouvelée parfois pour mon plus grand bonheur, 
ou accordée pour la première fois...


                                                       
Perspicace, rusé, bienveillant,
rien n'échappe à Hervé Helary (Radio cap Ferret)
Un talent pour se glisser dans les livres
et marcher entre les lignes...





Une belle brochette de gens heureux.













jeudi 19 mai 2016

L'Affaire Jane de Boy"




"À quoi bon écrire des livres si on n'invente pas la vérité ? ou encore mieux, la vraisemblance ? "  Jorge Semprun





vendredi 13 mai 2016


L’Affaire Jane de Boy





L'intrigue policière se déroule à Bordeaux en 1960, au cœur du quartier espagnol et dans l’ambiance du 27 de la rue Castéja où se situait le commissariat et plonge ses racines dans l’anti franquisme des années 40 à 60 en s’inspirant de faits authentiques.
Pour l’écriture de ce roman, j’ai reçu l'aide d’anciens policiers qui m’ont permis d’évoquer avec réalisme l’atmosphère de ce commissariat central (aussi mythique pour les Aquitains que le 36), le climat et les méthodes de travail de la police à l’époque, et par des enfants d’exilés ou d’émigrés qui ont fait revivre pour moi le passé en arpentant les rues pittoresques de ce quartier de Bordeaux qu’on appelait alors « la petite Espagne »

En 1960, dans le village de Jane de Boy, une petite fille de trois ans disparaît sur la plage, quelques mois après l’enlèvement du petit Éric Peugeot et dans des conditions à peu près similaires. A-t-on affaire au même type de ravisseurs ? S’interroge le commissaire Lasserre.
Pris d’empathie pour le couple désespéré des jeunes parents, Justina et Félix, deux immigrés espagnols, et aidé par Hypolite, un ancien du 27 qui connaît par cœur ce quartier espagnol de Bordeaux et possède des indics, le policier entreprend de détisser la toile d’une affaire qui se complique et s’infiltre, depuis la demande de rançon jusqu’au crime, dans les ruelles de la petite Espagne et les ramifications de l’antifranquisme.
Félix cache son passé de libertaire, Sarah dissimule ses activités de prostituée du samedi soir sur les quais de Bordeaux et protège son souteneur Gégé. Quelle est l’implication de la bande à Bertille, bande de blousons noirs de Bacalan ? De la bande à Kléber (jeunes Espagnols à la réputation de casseurs) ? De la famille politique de Pablo, Saveiro, Bartomeu, anarchistes exilés, toujours en lutte contre le régime de Franco ?

Crime politique ? Passionnel ? Ou crapuleux ?

jeudi 12 mai 2016

première rencontre




Après le salon d'Ares, première rencontre à Bordeaux :


Je vous donne rendez-vous le jeudi 26 mai à 19H, pour une rencontre agrémentée d'un cocktail, dans le cadre bordelais de cette brasserie qui convient bien à l'ambiance de mon roman. 





lundi 2 mai 2016

Les pages du Bassin


Chers amis lecteurs, 


            Je suis heureuse de vous retrouver bientôt à Ares, et de vous présenter mon nouveau roman. 
Il s'agit d'un polar et bien sûr, comme d'habitude, l'intrigue se déroule chez nous, ici, à Bordeaux et sur le Bassin. Mais vous ne m'en voudrez pas d'être allée chercher quelques-uns de mes personnages de l'autre côté des Pyrénées... Rassurez-vous, je les ai fait passer clandestinement. 




Une confidence : Le salon d'Ares c'est tout un symbole pour moi, une histoire de famille, 
pensez, j'ai eu un grand-père chef de gare à Ares...

Alors, je vous dis à très vite !