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lundi 12 octobre 2015

Festival international de littératures policières de Toulouse



     Ce salon de Toulouse est fabuleux, le mot n'est pas exagéré. D'abord, l'accueil, chaleureux, simple, très professionnel. Tous les auteurs bénéficient des mêmes égards, des mêmes attentions. Pourtant il y avait du gratin, mais l'état d'esprit est à la bonne humeur et à la franche camaraderie entre tous. J'ai interrogé les bénévoles, voulant percer le secret d'une telle organisation. Beaucoup de travail dans ce sens, m'a-t-on répondu, la volonté que ce soit ainsi, et quelques ficelles. Du coup, les échanges avec le public sont imprégnés de cette ambiance amicale et j'ai été surprise de la facilité de communication avec les lecteurs. Ils ont été à l'écoute et j'ai pu leur présenter mes romans, dans la plupart des cas, avec succès.

Un bel échange avec un auteur que j'adore, Victor del Arbol, dont j'ai présenté précédemment ici le dernier ouvrage : Toutes les vagues de l'océan, roman qui a reçu le grand prix de littérature policière.


 Un grand auteur, un homme d'une extrême gentillesse



                                                      Deuxième belle rencontre: Ellory, 
ça tombait bien, je venais de lire Vendetta et Papillon de nuit. Deux romans que j'ai dévorés.
L'un sur la mafia dans le contexte de l'histoire très documentée de la Nouvelle Orléans, roman qui nous fait entrer dans la tête d'un tueur à gages et l'aimer par dessus le marché ! Un vrai tour de force. L'autre, un témoignage poignant sur la prison, un plaidoyer contre la peine de mort. 
                                                   Il m'a parlé de son prochain. Chut ! 




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